Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (25) Nouvelles Séances Sm
Jai longtemps hésité avant de publier ce récit. Il contient des passages qui choqueront inévitablement. Je souhaite ne pas recevoir de leçons, ces moments extrêmes étant derrière nous. Je répète que nous navons été contraints à rien, même si notre volonté était contrainte par notre abandon total vers lhypersexualité pour moi et le candaulisme pour Philippe.
Il y a dautres aspects de la période Rachid que nous avions évoqués sur le blog et que je préfère enfouir dans ma mémoire. Jai finalement décidé de parler de celui-ci pour que lon comprenne bien où nous ont conduit un candaulisme et une hypersexualité sans limites, qui mavait placé sous le contrôle dun fauve, Rachid, lui-même sous linfluence de mon ennemie Marie C, dont jai déjà expliqué quelle voulait tout faire pour me séparer de Philippe.
Je veux aussi expliquer pourquoi jai accepté tout cela.
Il y avait dabord lemprise quavait alors sur moi Rachid, dont je nimaginais pas à lépoque pouvoir me passer. Il suffisait dailleurs quil pose les mains sur moi et commence à me caresser, puis à me posséder pour que soit annihilée chez moi toute volonté de mopposer à ce que voulait pour moi mon homme, mon mâle, mon maître. Pour létat-civil, jétais Mme Philippe T., mais dans la réalité jétais la femelle de Rachid. Javais déjà connu beaucoup damants avant de la rencontrer, mais dès la première fois où il mavait prise, jai eu le sentiment dun paroxysme de plaisir, de navoir jamais rien connu avant. Philippe, sur les conseils de notre concierge Georges, avait trouvé celui qui mavait fait définitivement basculé vers lhypersexualité, permettant dassumer enfin tous ses fantasmes candaulistes.
Chaque coït avec Rachid entrainait des orgasmes qui me laissaient au bord de lévanouissement, en particulier quand Philippe assistait à nos ébats. Je lui offrais ce quil avait tant attendu, il me semblait que ma chatte était comme le fourreau de lépée de Rachid et je ne me lassais jamais dêtre baisée par Rachid.
Javais honte de mon comportement, une fois passée la vague du plaisir. Mon éducation très religieuse, qui fait partie de lidentité culturelle dans mon pays dorigine, y contribuait très largement. En acceptant les séances les plus « hard », javais le sentiment dune juste punition pour mes fautes. Et ce sentiment de faute remontait à loin, à lépoque de mon adolescence, liée à mon histoire avec mon père, que je poussais par arrogance à bout pour quil me punisse. Ce que jadorais cest quand mon père, excédé, me mettait sur ses genoux, descendait ma culotte et me fessait avec force et longuement. Je faisais dailleurs en sorte que ça dure, en poursuivant mes insolences. Je savais en outre que cela lui faisait de leffet, car je sentais une belle érection dans son pantalon. Ma mère lui disait :
Voyons tu devrais cesser de lui administrer des fessées, même si elle est insupportable. Olga nest plus une , cest une jeune fille.
Ta fille est une garce, elle a besoin dêtre corrigée !
Ces explications ne justifient pas mon comportement et ma lâche soumission, pas plus que le plaisir que jai pu prendre dans ces séances que je vais raconter et qui se déroulaient dans la maison de campagne, de Jean et Christine, le « château », comme je lai raconté au sujet de la première expérience SM que javais subie (voir le récit numéro n°16).
Je vais donc évoquer ces séances au « château », mis régulièrement à la disposition de Marie C., qui était la grande ordonnatrice de ces soirées, qui furent nombreuses tant que ma grossesse ne conduise à les annuler, provisoirement, pour mieux les reprendre après que je sois jugée à nouveau « opérationnelle » à reprendre des relations sexuelles, examen gynécologique à lappui.
Je rappelle que le bâtiment comprenait notamment une grande salle au sous-sol, éclairée à la bougie, aménagée en lieu de plaisir et de souffrance, avec notamment des chevalets, des tables et des croix de Saint-André. Marie C. qui sélectionnait les participants parmi les amateurs de SM, ne cachait pas que son objectif était de me faire souffrir.
Nous entrons dans la salle, je sais ce qui mattend. Je nai pas écouté Philippe, qui a essayé de me dissuader. Il a néanmoins voulu maccompagner.
Il est lui-même partagé entre son candaulisme qui le pousse à jouir de mon plaisir, et en même temps ne supporte pas quon me fasse du mal. Il a surtout du mal à comprendre que jy prenne du plaisir.
Je suis déjà excitée, les pointes de mes seins sont dures et je mouille déjà.
Marie accueille les invités, une dizaine, dont certains portent des masques pour ne pas être reconnus.
Voilà celle que je vous ai promise. Et lui, cest Philippe son mari.
Ce quil aime avant tout, cest la voir jouir. Moi je le veux et je finirai par le convaincre de quitter cette petite putain. Elle est à vous, mes amis, faites lui tout ce dont vous avez envie, faites la beaucoup souffrir, vous me ferez plaisir car je la hais.
Elle saisit le col de mon vêtement et le déchire violemment de bas en haut, dévoilant ma poitrine, et mon pubis à la vue de tout le monde.
Je suis immédiatement attachée à des chaînes assez longues. Devant moi se placent Marie et deux hommes. Marie se plante devant moi, et me gifle violemment, des larmes coulent sur mes joues, ce qui fit sourire les trois personnages. Elle me caresse les seins. Ces caresses, après la gifle, me troublent terriblement, je suis surprise de trouver cela agréable, être caressée en étant attachée. Elle me pince le bout des seins dont les pointes sétaient mises à durcir, il faut dire que jai des petits seins mais très
sensibles.
Elle tord mes pointes entre ses doigts, et je mouille encore davantage.
Elle me caresse dune main experte, me fixant dans les yeux. Jai très vite senti une vague de chaleur menvahir, une excitation sempare de mon corps, mes jambes se dérobent sous moi, les mains des hommes me caressent partout sur le corps, je jouis très rapidement.
Je suis très surprise de jouir dans de telles conditions, mais de me sentir malmener, dans une position dêtre inférieur, dêtre à la merci de ses personnes, cela me fait vibrer.
Je me rappelle que javais eu très mal à mes tétons, quand, mes tortionnaires les tordaient et les pinçaient, mais jaurai voulu avoir encore plus mal.
Je suis en train de me faire pénétrer avec un gode que menfonce un homme sous le regard dune femme qui me claque les seins avec sa main.
Cinq hommes mentourent et me regardent. Une femme me fait voir un martinet avec des grandes et larges lanières, elle me caresse la poitrine, le sexe, les fesses, elle glisse les lanières entre mes jambes et les fis coulisser sur ma chatte davant en arrière, me caressant en remontant avec insistance sur mon clitoris. Puis elle se place derrière moi et me fouette les fesses et le dos, je ne la vois pas, et chaque coup, porté avec une force retenue, me fait un mal certain, mais tout à fait supportable.
Ensuite elle se place devant moi, un homme se glissant derrière moi, il était torse nu, très grand et musclé, il a le sexe sorti de son pantalon, et bande, un sexe que je ne vois pas, mais que je sens long et gros, il glisse son sexe entre mes cuisses, met ses mains sur mes seins. Et un jeu pervers commence entre mes deux tortionnaires, la femme me frappe sur le devant du corps,
lhomme essaye de méviter de recevoir les coups en plaçant ses mains aux endroits de chutes des lanières tout en se masturbant en frottant sa queue entre mes cuisses. Il réussit bien à méviter les coups, mais provoque lénervement de la femme qui augmente à la fois la vitesse et la force des coups.
Une femme fait couler dune énorme bougie noire sur moi de la cire fondue. La cire en séchant laissait de grandes traînées noires sur ma peau.
Je fus ensuite attachée sur une table. Mes pieds et mes mains étaient tirés à chaque extrémité par des chaînes. Trois hommes profitent alors de mon corps entièrement à leur merci. Ils malaxent mes seins, tirent sur les tétons avec leurs dents. Pendant ce temps une femme caresse ma chatte. Tout ce spectacle est éclairé de grandes bougies, dont la lueur fait danser les ombres sur les murs de la pièce.
Je suis effrayée et très excitée à la fois. Maintenant on me fait mettre sur le matelas à quatre pattes. Les hommes se succèdent sur moi, je suis prise sans ménagement par tous les orifices, réduite à un simple objet de plaisirs.
Je jouis encore et encore.
Je suis ensuite allongée sur un matelas, avec autour de moi cinq hommes et trois femmes, qui sont en train dassouvir leur plaisir sur mon corps entièrement à leur disposition. Les hommes se succèdent dans mes orifices, les femmes cherchent avant tout à me faire mal et martyrisent mes tétons.
Je fus ensuite entravée sur une croix de St André. Un homme, équipé de fines aiguilles, me pique. A chaque piqûre je me trémousse sur ma croix. Puis ma bouche est obstruée par une boule maintenue par un collier. Mes tétons sont pris dans des pinces. On me donne des coups de cravache, qui laissent de vilaines marques sur ma peau.
Après un long moment, je suis libérée. Quatre femmes de lassistance séquipent de ceintures en cuir noir, sur lesquelles sont fixés de grands godemichés noirs. Cela leur fait des bites énormes et longues. Deux des femmes se placent devant et derrière moi, et sans ménagement, me prennent en sandwich. Je crie sous la violence des pénétrations. Les deux dominatrices font aller et venir leurs sexes noirs dans ma chatte et mon cul avec violence et avec une cadence de métronome. Le spectacle est incroyable, les autres participants rythment les pénétrations en criant des injures. Je me mets à jouir telle une bête. Philippe ne perd pas une miette du spectacle.
Les deux tortionnaires continuent quelques instants leurs va et viens. Puis elles sortent leurs faux membres. Les autres femmes équipées de gode, les remplacent immédiatement et me pénètrent à leurs tours. La danse reprit, jusquà ma jouissance.
Après cette scène, je reconnais que jai perdu le sens des réalités, je nai jamais pu imaginer que lon pouvait faire cela, autant de violence pour obtenir le plaisir.
Rachid avait fait venir son ami Ahmadou, dorigine sénégalaise. Je regarde, avec envie et inquiétude lincroyable engin qui pend entre ses jambes.
Ahmadou, elle est à toi, tu vas la saillir, tu vas la baiser, tinquiète sa chatte va accueillir ton mandrin. Regardez les amis, avez-vous déjà vu une telle salope ?
Jai peur, il est trop gros !
Et en même temps, tu en as envie, non ?
Oui, viens Ahmadou, prends moi en levrette, baise-moi, démonte-moi !
Lorsque le membre géant dAhmadou me défonce, je crois mourir tellement mon sexe fut perforé par ce mandrin. Sans me laisser de répit, les coups de reins commencent, chaque coup fait pénétrer ce burin un peu plus loin dans mes entrailles. Le volumineux gland frappe le fond de mon vagin, mon corps entier tremble. Instinctivement, je compte les assauts, mais à 10, il ne sarrête pas, bien au contraire, la vitesse et la répétition des pénétrations augmentent, me provoquant, une jouissance diabolique, jexplose de plaisir, je crie comme un animal, plus rien nexiste. Soudain, Ahmadou beugle, sort son engin de mon corps, et minonde de sa semence chaude et épaisse. Les spectateurs applaudissent, mon corps, est complètement anéanti, mes jambes tremblent, je vois des points de lumière tourner dans ma tête. Les autres femmes se précipitèrent sur moi, et léchèrent le nectar à même ma peau.
Une dizaine de langues fouillent tous les endroits de mon corps, mes orifices sont pour elle des oasis, ma chatte, mon nombril, mes seins, le haut de mes jambes.
Je me souviens aussi dune autre séance. Rachid, sur les conseils de Marie, veillait à ma tenue, il fallait que je sois comme une putain, outrageusement maquillée. Ce soir-là, je portais une jupe très courte, des bas, des chaussures à talon, des porte-jarretelles et un petit haut très moulant et avec un décolleté plongeant. Il ny avait rien dautre : ni culotte, ni soutien-gorge.
Un homme se plaça derrière moi et me fit comprendre dun geste que je devais me tenir le dos bien droit. Il me caressa les cheveux et le visage, comme sil voulait prendre le temps de me découvrir. Je me laissais faire. Il passa ses mains sur mon corps, par-dessus mes vêtements puis commença à ôter les boutons qui maintenaient par-devant le petit haut. Je compris pourquoi Rachid avait choisi ce vêtement. Ainsi, jeus la poitrine libre en un rien de temps.
Il joua avec mes seins déjà dressés par lexcitation. Il les pétrit, les pinça, marrachant parfois des gémissements de plaisir ou de douleur, guettant mes réactions, me testant. Il se désintéressa ensuite de ma poitrine et ôta ma jupe en ouvrant la fermeture éclair qui la maintenait dune pièce.
Je me retrouvais ainsi presque nue, seulement couverte de mes bas tenus par les porte-jarretelles. Jentendis le claquement une demi-seconde avant de ressentir la morsure du fouet. Surprise, autant par lattaque que par la douleur, je criais. Le second coup ne tarda pas. Un troisième tomba. Cet homme nutilisait ni une cravache, ni une quelconque forme de martinet, mais un fouet. Lorsquun quatrième sabattit, je ne pus mempêcher de crier une autre fois.
Lorsque fouet me mordit à nouveau, je ne criais pas et comptais à voix haute.
Il ne frappa que deux fois, remit son fouet à sa ceinture et continua à me découvrir. Debout, je laissais cet homme me contempler. Il mordonna de retirer les vêtements qui me restaient.
La pièce voisine était entièrement vide. Le sol avait été recouvert de tatamis qui le rendaient tendre et par endroit, on voyait des chaînes et des anneaux. Lhomme mordonna de me mettre debout contre le mur. Mes mains furent attachées au-dessus de ma tête. Il banda mes yeux. À partir de ce moment, je ne sus qui profitait de moi. On me lécha partout, on joua avec moi, on me fit me retourner pour me prendre par derrière. Jai eu droit à tout : cravache, fouet, martinet simple ou chat à neuf queues. Jai eu cinq orgasmes.
Le moment que je préférai fut lorsque je sentis plus de deux mains se poser sur moi en même temps. Je ne savais pas combien ils étaient, deux, trois, quatre ? Beaucoup, en tout cas. Jai eu droit à une double pénétration qui me fit jouir plus fortement que jamais.
Je retournais dans la grande pièce. Rachid sortit une petite boîte noire. Il en sortit les pinces à tétons et sapprocha de moi. Il commença par me caresser doucement les seins et par y apposer de tendres baisers. Puis il les pétrit, allant plus fort, faisant ressortir leurs bouts dressés. Il pinça les tétons, samusa avec, puis séloigna un peu et desserra les pinces. Il tira sur ses seins et plaça la première pince. Je me retins de crier. La douleur était violente mais supportable. Il accrocha la seconde, puis se recula pour regarder son uvre. Ses yeux brillaient.
Tu es sublime. Jespère que tu pourras en porter des plus fortes.
Il faudra lui faire percer les tétons et le clito, afin quelle puisse porter un anneau, dit Marie.
Rachid mobligea à suivre la volonté de Marie et à me faire percer les tétons et le clitoris. Le port danneaux à ces endroits donna loccasion de mattacher et de me faire souffrir.
Ce fût à une autre séance que toutes les limites furent franchies.
Javais été beaucoup prise et avais été aussi beaucoup malmenée. Mon dos était marqué par les coups de fouet. Marie avait poussé les participants à ne pas être avares de coups de fouet, et elle-même ne perdait pas loccasion de montrer toute sa haine. Il est vrai que je la provoquais :
Ça texcite, salope de me voire fouettée. Ça te fait mouiller, je parie.
Salope, me dit-elle en massénant un coup encore plus violent
Vas-y frappe, ça mexcite. Et en même temps tu me punis comme je le mérite. Mais sache une chose, jamais Philipe ne sera à toi !
Cela décupla sa colère et elle enchaîna les coups :
Comment oses-tu ? Tu vas me demander pardon, putain, tu entends ? Si je pouvais je te fouetterai à mort !
Jamais je ne te supplierai et ne demanderai pardon. Frappe, salope, quest-ce que tu attends ?
Javais été flagellée au sang, mon dos et mes seins étaient couverts de traînées rouges. Je me suis même évanouie une fois, sous les coups de Marie, qui me ranima avec un seau deau froide. Dautres participants, et Philippe, qui avait fini par se résigner à ces pratiques du fait de mon consentement.
Mon évanouissement avait déclenché une douleur inouïe au niveau de mes anneaux.
Je fus détachée et remise sur pied. Marie sapprocha de moi et releva ma tête car dinstinct je baissais les yeux. Elle voulait membrasser. Je lui alors crache au visage, ce qui entraîna de sa part une violente gifle, mais je répliquais et, malgré ma fatigue due au plaisir et aux sévices, javais le dessus. Sportive, javais mise à terme Marie et elle devrait soigneusement se maquiller pour cacher les dégâts sur son visage. Javoue que jai eu un moment la tentation de lui serrer le cou, mais je me suis maîtrisée. Les autres participants nous séparèrent. Marie éructait de rage :
Tu vas me le payer. Rachid on passe à ce quon avait prévu pour cette chienne.
Javais ce soir-là atteint le fond, celui de ma descente aux enfers. Javais profondément honte, mais je refusais découter Philippe qui me suppliait darrêter tout cela et de rompre avec Rachid.
Je lui rétorquais que cétait lui qui avait ouvert la boîte de Pandore, que cétait son uvre. Jajoutais que je menvisageais pas de me passer de Rachid et disait à Philippe quil ne devait en aucun cas me demander de choisir entre lui, mon mari, malgré lamour que je lui portais, et Rachid mon mâle.
Ces séances de plus en plus hard finirent par être interrompues, à partir du moment où ma grossesse ne permettait plus de les poursuivre sans danger pour moi et l que je portais. Mais elles reprirent, comme je lai dit, à partir du moment où mon gynécologue avait estimé que je pouvais reprendre une activité sexuelle « normale ». Manifestement, il était un des rares, dans cette ville, qui navait pas eu décho de ma réputation et de mes « exploits ». Dailleurs, quand, à la demande de Rachid, je me suis offerte à lui, il ma mis dehors de son cabinet.
Dailleurs, ma grossesse, si elle limitait mes « activités » sexuelles, ne les avait pas interrompues. Jen parlerai dans le récit suivant.
Javais dépassé toutes les limites et pourtant je ne trouvais pas la force darrêter tout ça. Il faudra la rencontre avec Hassan pour y parvenir. Jen reparlerai dans un récit ultérieur.
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